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PAKAUM

Être dans notre monde :

Dans le domaine de l’architecture, le monde est notre support.

Il est nécessaire d’y porter un regard lucide et engagé quand il se questionne aujourd’hui tant.

Des préoccupations structurantes se posent, certaines nous échappent, nous pouvons, en amont, en appréhender ou en maitriser d’autres :

  • La matière, la justification de l’énergie utilisée pour faire les choses, puis pour qu’elles perdurent et puissent se renouveler. 

  • La conscience d’un espace limité pour un nombre d’hommes grandissant et justement exigeant dans son idée émergeante du progrès à faire.

  • La symbiose essentielle à respecter pour l’homme entre lui-même et la nature.

Ces préoccupations nous donnent un cap fort.

Construire des idées, « de la petite cuillère à la ville » :

Au commencement, la passion pour le monde des idées, de leur élaboration à leur construction, nous anime.

Avec notre formation et nos expériences, nous avons la conviction que toutes les échelles de projet peuvent ouvrir des portes sur des ambitions, des potentiels, du sens à révéler.

Chaque projet est aussi porteur d’un « code génétique » qui lui est propre.

Il convient avec attention de le décrypter, de le traduire par des dessins, puis de l’accompagner en cohérence avec son essence dans la réalité, de son développement jusqu’à sa construction.

Comme pour une vie.

 

Tout d’abord, regarder au-delà :

Autour d’un projet il y a son contexte.

Il est humain par la nature des désirs et des attentes d’une demande.

Il est physique par la richesse et la complexité du milieu où il se trouve.

Il est culturel et social par l’histoire qu’il invoque.

La compréhension d’un contexte, de ses contraintes, et la nature des ambitions potentielles que porte un projet, sont prises le plus largement possible.

Une compréhension essentielle pour poser un horizon stable, réel et partagé pour le long voyage que doit parcourir un projet.

 

Le parti pris des choses :

Dans notre approche, la forme d’un projet ne se définit pas à priori.

Chaque projet lance des appels sur des sujets, des questions et des idées que l’on se fait sur les choses.

Ces idées sont à hiérarchiser pour en entendre bien leur musicalité complémentaire.

Puis, notre expérience émotionnelle de l’espace, sous l’œil bienveillant de la réalité, en définissent progressivement la forme.

Avec comme invariant, en haut, l’idée que l’architecture, pour être juste, devrait faire du bien aux hommes.

 

Le dessin :

Depuis la nuit des temps, l’expressivité spontanée et l’approximation relative du dessin à la main nous offrent un outil précieux sur des phases préliminaires d’un projet.

Pour exprimer vite, tester, prendre rapidement du recul, itérer, gérer des incertitudes, préserver un sens critique intact sur les décisions les plus structurantes à prendre.

C’est pour nous un outil adapté aux efforts à faire pour inscrire durablement les idées les plus justes dans la formalisation du projet, sans aboutir trop tôt sur des précisions trompeusement rassurantes.

Comme support, ou pour rasséréner, le dessin informatique et sa redoutable efficacité nous aide plus sereinement au développement du projet ou dans sa production.

 

Le WA :

Le lieu où l’on est à Marseille.

Avec un esprit ou simplicité rime avec richesse

un beau cadre humain et matériel

avec des idées en partage sur les grands enjeux de notre monde.

Une conscience stimulante dans notre responsabilité de créateurs de villes et de paysages.

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